en direct de Moscou
Durée : 3h10
2 entractes
Réduction Ciné Croisette 12€ au lieu de 23€
Le farfelu Don Quichotte part à l’aventure accompagné de son fidèle écuyer Sancho Panza à la recherche de la femme idéale. En chemin, Don Quichotte fait la rencontre de Kitri, fille d’aubergiste qu’il imagine être une princesse…
PRESENTATION
Le panache et l’excellence du Bolchoï se combinent dans la version acclamée de Fadeyechev de cette œuvre exaltante sur une musique de Léon Minkus. De nouveaux décors et des costumes inédits accompagnent cette production riche en couleurs et en prouesses, incontournable du répertoire de la troupe russe !
Antoine, bientôt quarantenaire, dilettante, égoïste et insatisfait ne s’est jamais réellement senti investi d’une mission pour s’occuper de ses filles, âgées de 5 et 9 ans.Infantilisé par sa femme Alice, Antoine n’arrive pas à trouver sa place dans son foyer et décide subitement de la quitter pour une histoire sans lendemain.Lorsqu’Alice lui confie leurs filles quelques jours par surprise, Antoine va se retrouver sur un continent inconnu. Et alors qu’il était incapable d’assumer son rôle de père à l’intérieur du noyau familial, il va finir par devenir une véritable « mère juive ».Après avoir quitté sa femme par nostalgie de sa liberté d’antan, le nouvel Antoine va se retrouver confronté à une nouvelle nostalgie, celle de sa vie de famille…
Tout pour être heureux : Consultation et téléchargement du dossier de presse
Nationalité FrançaisLorsqu’on est veuf depuis peu, il est difficile de s'habituer à sa nouvelle vie... C’est le cas d’Hubert Jacquin, qui passe le plus clair de son temps dans son immense appartement
à déprimer devant sa télé. Un beau jour, suite à un quiproquo, sa vie va être bouleversée. Manuela, une jeune et pétillante baroudeuse à la recherche d’un logement s’invite chez lui ! D’abord
réticent, Hubert va vite s’habituer à la présence de cette tempête d’énergie, qui parvient même à le convaincre de loger deux autres personnes. Entre les errements de Paul-Gérard que sa femme a
quitté et les gardes à l'hôpital de Marion la jeune infirmière un peu coincée, la vie en colocation va réserver à Hubert de nombreuses surprises…
La jeune et plantureuse Manon arrive à Paris accompagnée du naïf des Grieux, éperdument amoureux d’elle. Elle y découvre une nouvelle vie de luxure et de richesse à laquelle elle ne peut résister. Des Grieux tente désespérément de reconquérir le cœur de cette nouvelle femme fatale…
Kristine Opolais met le feu à la scène du Met dans cette nouvelle production qui s’annonce comme l’événement de la saison.
Roberto Alagna lui donne la réplique dans le rôle de des Grieux. Cette « passion désespérée » des deux jeunes provinciaux arrivés dans la capitale est l’expression qu’employait Puccini lui-même pour décrire cet opéra qui confirma sa position de maître de l’opéra italien.
Richard Eyre resitue l’action dans un décor inspiré des films noirs des années 40 à l’époque de la France occupée.
Compositeur Giacomo Puccini, Mise en scène Sir Richard Eyre, Direction musicale Fabio Luisi
C’est sans doute l’une des nouvelles productions les plus attendues de ce début d’année : à partir du 12 février prochain au Metropolitan Opera de New York, Richard Eyre met en scène Manon Lescaut et transpose l’œuvre de Puccini dans la France occupée des années 40, façon « film noir », pour faire de Kristine Opolais une femme fatale dans le rôle-titre.
Et si la production est attendue avec curiosité pour sa mise en scène, elle l’était tout autant (sinon plus) pour sa distribution. La soprano lettone devait en effet
retrouver Jonas Kaufmann dans le rôle du Chevalier Des Grieux, qui chantait le rôle pour la première fois déjà à ses côtés à Londres en 2014. Las, le ténor allemand, malade (une fois de plus ces
derniers mois), annonce aujourd’hui être dans l’incapacité d’assurer son rôle.
Le Metropolitan Opera précise néanmoins ce soir que Jonas Kaufmann sera remplacé par Roberto Alagna, actuellement présent dans l’établissement new-yorkais pour chanter le rôle de Canio dans Pagliacci.
Et ce changement de casting s’avère tout aussi intéressant, puisqu’on sait le rôle de Des Grieux très significatif (et manifestement teinté de regrets) pour Roberto Alagna : il devait en effet
l’interpréter en 2006 à Turin (dans l’établissement de la création de l’œuvre en 1893 et dans une production signée par son ami Jean Reno), avant de devoir y renoncer pendant les répétitions suite à
des soucis de santé.
Et si Roberto Alagna chante quelques extraits de Manon Lescaut dans son dernier disque Ma vie est un opéra, il fait donc là ses débuts dans le rôle du Chevalier sur scène. Afin de mieux préparer sa prestation, Roberto Alagna annonce par ailleurs abandonner les représentations restantes de Pagliacci et sera remplacé par Marco Berti (actuellement Calàf dans le Turandot du Met).
On sera donc curieux de découvrir Roberto Alagna dans Manon Lescaut à New York, à partir du 12 février prochain et pour neuf représentations dirigées par Fabio
Luisi.
Réduction Ciné Croisette 12€ au lieu de 20€
« Oh ! Le Roi s’amuse est le plus grand sujet, et peut-être le plus grand drame des temps modernes. C’est une création digne de Shakespeare ! » Quelques mois avant d’adresser ces mots à Francesco Maria Piave pour le presser de « mettre Venise sens dessus dessous et faire en sorte que la Censure autorise ce sujet » - ce qui n’alla pas sans mal, la moralité ne tardant pas à s’en offusquer -, Verdi travaillait à une adaptation du Roi Lear. Et sans doute est-ce imprégné de la pièce de Shakespeare, son maître vénéré, qu’il lut le drame de Victor Hugo, sentant « comme un éclair, une inspiration » en trouvant sous la plume du Français, à laquelle il devait d’ailleurs le plus grand triomphe de ses « années de galère » avec Ernani, un équivalent au triangle formé par le Roi, sa fille et le fou. Entre le duc, futile, licencieux, et Gilda, victime de l’ignorance dans laquelle elle est retenue prisonnière, se dresse la figure à deux visages du bouffon bossu et du père obsédé par la malédiction. Monstrueux et déchirant, grotesque et sublime, le rôle-titre atteint son apogée dans l’air ≪ C ortigiani, vil razza dannata ≫, dont le mouvement descendant, de l’explosion de rage à l’imploration, affirme la capacité du compositeur à plier une forme héritée du bel canto à la vérité du théâtre. Placée sous la direction de Nicola Luisotti, cette nouvelle production de Rigoletto marque la première collaboration du metteur en scène Claus Guth avec l’Opéra de Paris.
Melodramma en trois actes (1851)
Musique de Giuseppe Verdi
Livret de Maria Piave
D’après Victor Hugo, Le Roi s’amuse
Direction musicale : Nicola Luisotti
Mise en scène : Claus Guth
Orchestre et Chœurs de l’Opéra national de Paris
Michael Fabiano, Il Duca di Mantova
Quinn Kelsey, Rigoletto
Olga Peretyatko, Gilda
Rafal Siwek, Sparafucile
Vesselina Kasarova, Maddalena
Isabelle Druet, Giovanna
Mikhail Kolelishvili, Il Conte di Monterone
Michal Partyka, Marullo
Christophe Berry, Matteo Borsa
Tiago Matos, Il Conte di Ceprano
Andreea Soare, La Contessa
Présenté par Alain Duault
Réalisé par François Roussillon
2h35 dont un entracte de 30 mn