Présentés à Ciné Croisette depuis le 31 janvier 2016

LES COURTS AUX OSCARS 2016

 

Les Oscars sont des récompenses américaines décernées chaque année aux meilleures productions mondiales du cinéma. Tous les maillons de la création cinématographique sont salués (scénario, réalisation, technique, interprétation). Cette compétition est ouverte aux films du monde entier, même si ce sont majoritairement des productions américaines qui y sont représentées. 
 
Courts aux Oscars est un programme regroupant les courts-métrages sélectionnés pour les Oscars 2016.
 
Pour sa diffusion en salle, il est divisé en deux programmes distincts de 1h24 et 1h46 : le premier rassemble les courts-métrages d’animation et le second les courts-métrages de fiction. 
 
Courts aux Oscars 1 – Animation ne réunit pas uniquement les cinq films nominés ; quatre films en pré-sélection ont été ajoutés pour allonger la durée du programme. 
 
Les salles françaises vous offrent aujourd’hui le privilège d’avoir accès à ses films en même temps que les membres votants grâce aux projections des deux programmes Courts aux Oscars dans plusieurs salles de France la semaine qui précède la cérémonie officielle. 
 
Retrouvez toute l’actualité du programme Courts aux Oscars sur Facebook : www.facebook.com/Courts.aux.Oscars 
 
Suivez en direct la Cérémonie des Oscars, le dimanche 28 Février à 2h (heure française) sur Canal +. 
 
 

LES COURTS METRAGES NOMINES AUX OSCARS 2016

COURTS AUX OSCARS 1 ANIMATION

SANJAY’S SUPER TEAM (Nominé), de Sanjay Patel – Etats- Unis – 7min 

Un petit garçon imagine comment les divinités de l'hindouisme pourraient rejoindre son équipe imaginaire de super-héros.

BEAR STORY (Nominé), de Gabriel Osorio – Chili – 11min 

Un vieil ours solitaire raconte son histoire à travers un diorama mécanique.

WORLD OF TOMORROW (Nominé), de Don Hertzfeldt – Etats-Unis – 17min 

Une petite fille est emmenée pour un voyage introspectif dans son futur lointain. 

PROLOGUE (Nominé), de Richard Williams – Royaume-Uni – 6min 

Deux Spartiates et deux Athéniens se battent à mort, sous le regard d'une petite fille.

CATCH IT, ESMA – France 

Un groupe de suricates veille amoureusement sur son unique fruit lorsqu’un vautour va venir perturber leur quiétude. (Film ajouté) 

WE CAN’T LIVE WITHOUT COSMOS (Nominé), de Konstantin Bronzit – Russie – 16min 

Deux amis cosmonautes s'entraînent pour pouvoir réaliser leur rêve commun, un incident va venir bousculer leur projet à deux. 

THE SHORT STORY OF A FOX AND A MOUSE, ESMA – France 

Seul dans une plaine enneigée, un renard pourchasse une souris, lorsque deux hiboux vont entrer dans la course un lien va se tisser. (Film ajouté)

COURTS AUX OSCARS 2 - FICTION

AVE MARIA, de Basil Khalil – Palestine, France, Allemagne – 15min 

Le quotidien d’une petite communauté de religieuses de Cisjordanie qui a fait voeux de silence est chamboulé par l’arrivée d’une famille de colons israéliens dont la voiture percute le mur de leur couvent. 

SHOK, de Jamie Donoughue – Kosovo, Royaume-Uni – 21min 

L’amitié de deux garçons est mise à rude épreuve lors de leur lutte pour survivre pendant la guerre du Kosovo. 

Un des premiers films kosovars récompensé dans les plus prestigieux festivals de courts-métrages.

EVERYTHING WILL BE OKAY, de Patrick Vollrath – Allemagne, Autriche – 30min 

Un père divorcé vient chercher sa fille de 8 ans, Lea, pour le week-end. Tout ne va pas se passer comme prévu. 

La Commune Cinéchanges Vendredi 26 Février 2016

Le sujet choisi par Jérôme Réber et Magali Solignat, comédienne, est une prestation sous forme de représentation théâtrale autour du film de Peter Watkins " La Commune (Paris 1871)" avec extraits de ce film dont le sujet est "le pouvoir des médias"

 

Synopsis :

Nous sommes en mars 1871, tandis qu'un journaliste de la Télévision Versaillaise diffuse une information lénifiante, tronquée, se crée une Télévision Communale, émanation du peuple de Paris insurgé... Dans un espace théâtralisé, plus de 200 participants (intermittents du spectacle, chômeurs, sans-papiers, provinciaux, montreuillois, simples citoyens, ...) interprètent, devant une caméra fluide travaillant en plans séquences, les personnages de La Commune pour nous raconter leurs propres interrogations sur les réformes sociales et politiques (...)

Créée à Montreuil en 1999, La Commune est donc une création hors norme. Avec un budget très faible mais grâce à l'étonnante énergie relationnelle de près de 300 comédiens et techniciens convaincus par la pertinence du sujet et l'évidence du propos. 

Peter Watkins, après 16 mois de préparation intense, a pu reconstituer et restituer en 13 jours l'exceptionnelle et effroyable expérience de La Commune. En se situant au plus près des gens du peuple dans le Paris de 1871, La Commune de Peter Watkins nous réveille et nous rappelle que l'histoire est un matériau vivant en devenir, et qu'à tout moment nous pouvons en devenir les acteurs lucides, conscients et responsables.

 

Références

https://fr.wikipedia.org/wiki/La_Commune_(Paris,_1871)

http://www.lemonde.fr/cinema/article/2007/11/06/la-commune-paris-1871-la-commune-de-paris-vue-par-peter-watkins_975143_3476.html

http://www.monde-diplomatique.fr/2000/03/LAFOSSE/2203

http://www.critikat.com/panorama/analyse/la-commune-paris-1871.html

 

http://lmsi.net/Peter-Watkins-et-La-Commune-de

http://lmsi.net/Peter-Watkins-et-La-Commune-de,1525

http://lmsi.net/Peter-Watkins-et-La-Commune-de,1526

http://lmsi.net/Peter-Watkins-et-La-Commune-de,1527

 

 

Vous trouverez ci-dessous, les vidéos intégrales première et seconde partie :

Jeudi 25 février à 19h15 aux Arcades Avant-Première :  « Saint Amour »

de Benoît Delépine, Gustave Kervern avec Gérard Depardieu, Benoît Poelvoorde, Vincent Lacoste 
Comédie dramatique France, Belgique (1h 41min)

Tous les ans, Bruno fait la route des vins… sans quitter le salon de l’Agriculture ! Mais cette année, son père, Jean, venu y présenter son taureau champion Nabuchodonosor, décide sur un coup de tête de l’emmener faire une vraie route des vins afin de se rapprocher de lui. Et s’ils trinquent au Saint-Amour, ils trinqueront bien vite aussi à l’amour tout court en compagnie de Mike, le jeune chauffeur de taxi embarqué à l’improviste dans cette tournée à hauts risques entre belles cuvées et toutes les femmes rencontrées au cours de leur périple…
Pour Saint Amour, les trublions Gustave Kervern et Benoît Delépine ont posé leurs caméras dans de magnifiques vignobles français situés dans le Languedoc, le Bordelais, le Beaujolais, les Pays de Loire et la région Rhône-Alpes.
Le titre du film tient son nom d'un des dix crus du fameux Beaujolais baptisé le Saint-Amour.
Selon son acteur principal Benoît Poelvoorde, Saint Amour, comme souvent dans les films de Gustave Kervern et Benoît Delépine, met l'accent sur ces gens dont on ne prêterait pas toujours attention, ces laissés pour compte qui vivent en marge de la société et dont pas grand monde ne remarque la présence. Le tout avec la poésie qui caractérise les deux cinéastes.
De nombreuses femmes entourent les deux comédiens principaux, Gégé et Poelvoorde. Le casting féminin est en effet très étoffé avec notamment les talentueuses Céline Sallette, Chiara Mastroianni, Ana Girardot, Izïa Higelin et Solène Rigot.

Suivi d’un dîner au restaurant Bella Storia, 51 Rue Félix Faure, 06400 Cannes.
Choix de menu : Plat : Raviolis au crabe, sauce ciboulette ou Suprême de volaille, pommes fondantes, sauce truffe.  Dessert : Moelleux au chocolat avec sa chantilly ou Panacotta. Boissons comprises : 1 verre de vin.
Réservation obligatoire par courrier accompagné d’un chèque de 21€/personne à l’ordre de Ciné Croisette à envoyer à Ciné Croisette, Résidence L’Ascot, 2 avenue Beauséjour 06400 Cannes, avant lundi 22 février 2016 en donnant le nombre de personnes et le choix des plats et desserts.

Mardi 23 Février - 20h - aux Arcades, Avant-Première :   The revenant

Dans une Amérique profondément sauvage, Hugh Glass, un trappeur, est attaqué par un ours et grièvement blessé. Abandonné par ses équipiers, il est laissé pour mort. Mais Glass refuse de mourir. Seul, armé de sa volonté et porté par l’amour qu’il voue à sa femme et à leur fils, Glass entreprend un voyage de plus de 300 km dans un environnement hostile, sur la piste de l’homme qui l’a trahi. Sa soif de vengeance va se transformer en une lutte héroïque pour braver tous les obstacles, revenir chez lui et trouver la rédemption.

 

Côté mise en scène, le réalisateur de Birdman nous livre une nouvelle prouesse technique. Grâce au matériel utilisé et aux prises de vues, le spectateur se retrouve plongé au cœur de cette histoire. Le fait d’avoir également pris le risque de tourner en décors naturels renforce l’ambiance pesante qui règne. De plus, dès les premières minutes du film nous sommes mis dans cette atmosphère austère où la violence règne. Dans ce film, nous retrouvons également beaucoup de plans séquence ce qui permet de bien nous mettre dans l’action. On notera  le soin apporté aux costumes de cette époque, mais également aux différents maquillages concernant notamment les blessures. Enfin, la musique est sublime et nous permet de nous plonger totalement dans ce survival.

 

Avec ce nouveau film, Alejandro González Iñárritu nous embarque dans une chasse à l’homme sans concessions à travers des paysages sublimes et d’une nouvelle mise en scène audacieuse. De plus, le casting est excellent et Leonardo DiCaprio nous offre une prestation des plus remarquables. The Revenant est un survival brutal qui saura nous prendre aux tripes de bout en bout.

18 Février "LA VACHE" 17h40 Arcades

LA VACHE

De Mohamed Hamidi
Date de sortie 17 février 2016 (1h 31min)
Avec : Fatsah Bouyahmed, Lambert Wilson, Jamel Debbouze plus
Genre Comédie
Nationalités : Français, Marocain
 
Fatah, petit paysan Algérien n’a d’yeux que pour sa vache Jacqueline, qu'il rêve d'emmener à Paris, au salon de l'Agriculture. Lorsqu'il reçoit la précieuse invitation devant tout son village ébahi, lui qui n’a jamais quitté sa campagne, prend le bateau direction Marseille pour traverser toute la France à pied, direction Porte de Versailles.L’occasion pour Fatah et Jacqueline d’aller de rencontres en surprises et de vivre une aventure humaine faite de grands moments d’entraide et de fous rires. Un voyage inattendu et plein de tendresse dans la France d’aujourd’hui.

AbusdeCiné.com
LA VACHE sortie 17 FÉVRIER 2016 (critique)

Un paysan algérien rêve depuis toujours d’aller au salon de l’agriculture, notamment avec sa fidèle vache Jacqueline. Alors, lorsqu’il reçoit enfin une invitation pour y participer, l’homme se lance dans un périple à pied pour rejoindre la capitale française, accompagné de son bovidé…

 

Le feel good movie par excellence
Dans "Né quelque part", un jeune français se retrouvait bloqué en Algérie, pays de ses origines. Durant quelques scènes (dont celle du plaquage du mouton, rentrée dans la postérité depuis), le protagoniste croisait le chemin d’un paysan interprété par Fatsah Bouyahmed. Cet homme aux lunettes rondes et à l’accent prononcé semble être le même que le personnage principal de "La Vache", interprété par le même acteur, comme si ce second métrage était une suite indirecte. Car cette fois-ci, on inverse la thématique en envoyant un Algérien en France, terre de tous ses songes et fantasmes. 

Le film débute sur une aurore au cœur d’un potager. Fatah revisite des classiques de la variété française en arrosant ses laitues. Fatah, c’est le nom de l’agriculteur précédemment évoqué, c’est lui qui rêve de venir dans l’hexagone, plus précisément à Paris pour le salon de l’agriculture. Alors, lorsqu’il reçoit le fameux graal l’invitant à l’événement, il délaisse femme et enfants pour se lancer dans un périple pédestre qui le mènera, lui et sa vache Jacqueline, jusqu’à notre capitale. Et commence alors un road-movie déjanté où les vannes fusent à une vitesse déconcertante, où chaque situation est porteuse d’un humour salvateur et réjouissant, où chaque ligne du scénario transpire d’une énergie communicative.

"La Vache" est une ode à la tolérance emplie d’espoir et teintée de nostalgie, un de ces films qui titillent vos zygomatiques jusqu’à chatouiller vos glandes lacrymales de bonheur. Les superlatifs pourraient se multiplier pour décrire cette comédie douce et intelligente, mais ce serait presque dénaturer l’originalité de l’œuvre. « Ça fait du bien ». Aussi abrégée que puisse paraître cette affirmation, elle est la meilleure argumentation possible pour évoquer le film qui a triomphé au Festival de l’Alpe d’Huez. Car, simple mais loin d’être simpliste, cette comédie bienveillante bénéficie de la qualité rare de nous éloigner de tous nos soucis le temps de quelques minutes. Et en ces jours, l’exploit n’est pas moindre. 

Mais le film ne serait pas le même sans la prestation époustouflante de Fatsah Bouyahmed. Son charisme solaire et son énergie débordante sont les piliers d’une fondation qui ne manque pourtant pas de qualités : des seconds rôles excellents, des répliques aiguisées, une musique signée Ibrahim Maalouf galvanisante et un scénario extrêmement fin. Il est le (gros) cœur et l’âme de ce métrage profondément humain et donc forcément humaniste. Et c’est peut-être ce qui différencie tant "La Vache" des autres productions du même genre, c’est cette volonté indéfectible de nous offrir un pur moment de joie. Le pari est plus que réussi !
Christophe Brangé

Mercredi 17 février à 19h15 aux Arcades Première : « Ave, César »

(Hail Caesar) de Joel Coen, Ethan Coen avec George Clooney, Josh Brolin, Scarlett Johansson  
Comédie, Comédie musicale, Policier – USA GB

Eddie Mannix est un "fixer", un homme engagé par les studios hollywoodiens dans les années 50 pour régler les problèmes des stars...

Jeudi 11 février à 19h15 aux Arcades,  Opéra: « Le Trouvère »

Transmission en direct de l'Opéra Bastille

Le Trouvère, œuvre d’une fulgurance inédite, se déroule dans une de ces nuits échevelées et mystérieuses, chères au romantisme.Dans la confusion née de l’obscurité brille le feu du bûcher comme alimenté par l’obsession de la vengeance.  Tragédie à la fois nocturne et flamboyante où le destin se joue des hommes pour mieux assouvir leurs désirs vengeurs, Le Trouvère est un des meilleurs exemples de l’opéra romantique.

Dans la foulée de Rigoletto, Verdi n’aspirait qu’à faire du nouveau. Mais il avait beau trépigner d’impatience, voire même de colère, le projet d’adapter El Trovador, pièce du dramaturge espagnol Antonio Garcia Gutiérrez, ne suscitait de la part de Salvatore Cammarano, son librettiste, qu’un enthousiasme modéré. Conséquence d’une intrigue rocambolesque entre toutes, ou de la maladie qui allait finir par l’emporter, laissant le livret inachevé ? Face aux injonctions du bouillonnant musicien, le poète, auquel Donizetti n’est pas sans devoir une part du succès de Lucia di Lammermoor, ne céda pas. Et c’est bien là le paradoxe de Trouvère, qui passe aux yeux de ses détracteurs pour le comble du mélodrame, mais dont les contraintes formelles imposées par la plume de Cammarano attisèrent la flamme du compositeur. Plus que des personnages – seule Azucena la Gitane, qui détient le secret qui les anéantira tous, fait peut-être exception –, les airs dessinent des figures consumées par des passions confinant à l’abstraction. Du second rôle que Verdi lui destinait initialement, Leonora accède ainsi au statut d’héroine sacrificielle, dont la cavatine du quatrième acte, « D’amor sull’ali rosee », est moins un adieu qu’une assomption. Anna Netrebko porte cette cantilène extatique à incandescence, entourée d’Ekaterina Semenchuk, Marcelo Alvarez et Ludovic Tézier, dans une nouvelle mise en scène d’Alex Ollé. 

Jeudi 4 février à 19h15 aux Arcades Avant-première :   « Les Innocentes »

D’Anne Fontaine Avec Lou de Laâge, Vincent Macaigne, Agata Buzek
Drame historique France Pologne (1h55min)

Pologne, décembre 1945.
Mathilde Beaulieu, une jeune interne de la Croix-Rouge chargée de soigner les rescapés français avant leur rapatriement, est appelée au secours par une religieuse polonaise.
D’abord réticente, Mathilde accepte de la suivre dans son couvent où trente Bénédictines vivent coupées du monde. Elle découvre que plusieurs d’entre elles, tombées enceintes dans des circonstances dramatiques, sont sur le point d’accoucher.
Peu à peu, se nouent entre Mathilde, athée et rationaliste, et les religieuses, attachées aux règles de leur vocation, des relations complexes que le danger va aiguiser...
C’est pourtant ensemble qu’elles retrouveront le chemin de la vie.
Dossier de presse http://www.marsdistribution.com/film/169/file_download/19

The Danish Girl

de Tom Hooper Avec Eddie Redmayne, Alicia Vikander, Ben Whishaw

Biopic USA GB Allemagne Vostf (2h)

The Danish Girl retrace la remarquable histoire d'amour de Gerda Wegener et Lili Elbe, née Einar Wegener, l'artiste danoise connue comme la première personne à avoir subi une chirurgie de réattribution sexuelle en 1930. Le mariage et le travail de Lili et Gerda évoluent alors qu’ils s’embarquent sur les territoires encore inconnus du transgenre.

Nominations : Los Angeles : Oscars - Golden Globes – Screen Actors Guild Awards.

London : BAFTA – Venise Mostra

« Poignant, Eblouissant, Bouleversant »

Florence et la Galerie des Offices 3D 4K

Visite filmée en 3D de la ville légendaireLa découverte passionnante d’un des lieux les plus prestigieux au monde qui vous donnera accès aux plus belles œuvres d’art de la Renaissance. FLORENCE ET LA GALERIE DES OFFICES 3D permet pour la première fois d’introduire des caméras ultras HD 4K/3D dans plus de 10 lieux uniques de la ville de Florence. Une technique qui offre une plongée au cœur même des œuvres !


En exclusivité au cinéma, partez à la découverte du musée prestigieux à ciel ouvert qu’est la ville de Florence où, pour la première fois, des caméras ultras HD 4K/3D ont été introduites. Cette technologie 3D permet une immersion totale pour une expérience visuelle sans précédent. Imaginez : la puissance esthétique de l’art et de l’architecture décuplée, magnifiée par la vision 3D.


Cette visite filmée n’est pas seulement la promesse d’un itinéraire cinématographique unique en 4K/3D, elle offre également une narration innovante aussi bien pointue qu’émouvante. Celle-ci prend forme à travers Laurent de Médicis, dit Laurent le Magnifique, figure historique de la renaissance, jouée à l’occasion par le comédien Simon Merrels (Spartacus) qui s’appuiera sur les plus grands experts comme Antonio Natali (Directeur de la Galerie des Offices depuis 10 ans), Marco Ciatti (Conservateur de l’Office de la Pierre dure) et Arturo Galansino (Directeur du Palais Strozzi).

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